La violence conjugale : quoi faire ?

La violence conjugale peut survenir dans n’importe quelle relation, indépendamment de l’ethnie, du niveau de revenu, de la religion, de l’éducation ou de l’orientation sexuelle. La maltraitance peut se produire entre une personne mariée ou entre une personne non mariée vivant ensemble ou dans une relation amoureuse. Cependant, les chercheurs ont constaté que certaines personnes sont plus susceptibles d’être victimes de violence conjugale. Une victime probable peut être :
- A une mauvaise image de soi
- S’engage avec un comportement abusif
- Dépend économique et émotionnelle de l’agresseur
- Est incertain de ses propres besoins
- Se sent impuissant pour arrêter la violence
- Croit que la jalousie est une preuve d’amour
Bien que les abus puissent arriver à tout le monde, les femmes sont de loin les victimes les plus fréquentes et les hommes les plus fréquemment. Le centre d’Accueil en Urgence des Victimes d’Agressions, crée en 1999, estime qu’il accueille plus de 4000 de victimes des agressions par an. Ces agressions contre le partenaire ou le conjoint sont commises par des hommes contre des femmes pour plus de 60 % selon le Cauva. Encore une fois, les victimes ont souvent des caractéristiques communes. Les femmes victimes de violence conjugale souvent :
- Abuser de l’alcool ou d’autres substances
- Sont enceintes
- Sont pauvres et ont un soutien limité
- Ayez les croyances traditionnelles que les femmes devraient être soumises aux hommes
Besoin d’aide pour la violence conjugale?
Il peut être extrêmement difficile pour une victime de violence conjugale de reconnaître qu’il y a abus, en particulier lorsqu’il ne s’agit pas de violence physique, mais plutôt émotionnelle ou psychologique. Mais c’est le moment d’être honnête avec vous-même et de constater que ce n’est pas de votre faute. Essayez de ne pas forcez votre agresseur ou votre conjoint à vous frapper ou à vous maltraiter et vous fait violence.
Tu n’es pas seul. Ce n’est pas de ta faute. Veuillez trouver un moyen de solliciter l’aide d’une personne de confiance dans votre cercle d’amis ou de membres de votre famille ou d’un professeur spécialisé dans la médecine légale, comme Sophie Gromb. Si ce n’est pas le cas, parlez de votre situation à un médecin ou consulter directement le centre d’Accueil en Urgence des Victimes d’Agressions. Ils peuvent vous aider à trouver des ressources et à vous aider davantage.