Comment traiter des problèmes psychologiques par hypnose

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L’angoisse, la tristesse, l’anxiété, le stress, l’ennui, la boulimie, l’anorexie ou la dépression provoquent des compulsions alimentaires ou à des grignotages.

Il est essentiel de faire la différence les compulsions alimentaires liées à des maladies du trouble du comportement alimentaire, du grignotage de l’adolescent ou de l’adulte qui est un trouble moins difficile.

Même si l’origine de ces anomalies sont différents, les conséquences sur le poids et la santé de la personne sont similaires et peuvent causer des pathologies graves, notons à ce propos, des reflux gastro-œsophagien ou du diabète.

Les compulsions alimentaires : Quelle approche ?

En effet, les compulsions sont « un besoin » invincible de manger, sans faim et la plupart de fois sans plaisir. En plus de ça, cette prise alimentaire peut se déclencher à n’importe quel instant de la journée et plusieurs personnes se réveillent même la nuit pour déguster. Ainsi, la nourriture est engloutie sans mâcher et dans une quantité anormale.

Ce comportement est souvent observé par l’entourage de gourmandise tandis qu’un véritable problème affectif le sous-tend. Il est en rapport très étroit avec un certain vécu de la personne, son manque de confiance en elle, son manque d’estime de soi, son statut social, professionnel, relationnel ou personnel et une mauvaise gestion de ses sentiments comme la dépendance émotionnelle et bien plus encore.

En mangeant de manière compulsive, l’individu en souffrance a le fantasme de satisfaire des manques en lui, notons à ce propos, le manque de tendresse, de présence, d’attention, d’importance ou d’amour. En outre, l’anomalie est plus relationnelle et intra-psychique qu’alimentaire.

Les spécificités de la Boulimie

Les compulsions alimentaires se caractérisent par un besoin irrépressible de bouffer. De surcroit, ce comportement va au delà du désir et du plaisir, c’est un besoin hors de contrôle qu’il est nécessaire de le traiter le vite possible en visitant un cabinet psychothérapie.

Dans maladie boulimique, il peut arriver que les traumatismes soient avancés. L’individu achète tout et n’importe quoi, cuit ou cru, grillé ou pané et bouffe jusqu’à avoir des maux au ventre.

S ‘ensuivent alors des vomissements, de la honte et une forte anxiété qui pousse à de nouvelles crises.compulsions alimentaires

 

Le Grignotage

Le grignotage est par définition une suite de prises alimentaires qui peut durer une heure ou également toute la journée.

L’on croit aux adolescents qui affrontent un certain ennui en dehors des cours, demeurent de longs moments devant la télévision ou internet en dégustant des paquets de chips et de friandises.

Ce même ennui embarrassant se trouve également chez des personnes adultes, tristes de rentrer chez elles le soir et de se retrouver en solitaire.  Elles n’arrivent pas de gérer cet isolement, elles remplissent le vide par des tartes ou autre, parfois accompagnés de coca ou d’alcool.

L’hypnose et son rôle pour affronter les troubles alimentaires

Après une première consultation permettant de préciser l’origine des compulsions ou du grignotage des malades, ainsi, l’hypnothérapeute établit bien évidemment un traitement qui s’adapte avec chaque patient, soit un traitement psychothérapique est mis en valeur pour commencer par l’origine du symptôme, la confiance en soi, l’image du corps et le comportement alimentaire, Soit quatre ou trois séances d’hypnose sont proposées en complément de la psychothérapie afin d’essayer de se débarrasser de symptôme tout en libérant le patient des compulsions qui l’empêchent et altèrent son image et sa santé. L’arrêt du symptôme ne mentionne pas la fin du traitement.

Dans certaines situations, l’hypnose qui est un traitement efficace, suffit à stopper dans les plus brefs délais des grignotages, des compulsions alimentaires, à consolider la confiance en soi, à ressentir la satisfaction, à gérer les sentiments, à créer le blasement du sucre ou du salé, à limiter la quantité alimentaire. Au final, l’hypnose traite aussi les problèmes d’enfants hyperactifs.