Aperçu sur les activités professionnelles des handicapées

Depuis ces 10 dernières années, la société a changé le regard qu’elle porte sur les personnes en situation d’handicap. Désormais, on ne cherche plus à les interner dans des instituts spécialisés, mais on mise plus sur une véritable intégration dans la vie active. Pour cela, il n’y a qu’une seule solution : développer le travail des personnes handicapées.
Une intégration possible grâce à l’apparition de certains services
Le travail est l’activité qui redonne à l’être humain sa dignité et sa valeur. En effectuant ses tâches, il participe à la bonne marche de la communauté tout en subvenant à ses besoins. Le travailleur s’affranchit dans ce cas des aides diverses. Aussi, on veut donc offrir les moyens aux personnes en situation de handicap pour découvrir et conserver un travail bien rémunéré. Et on trouve un grand nombre d’activités professionnelles appropriées à chaque type de handicap. C’est surtout valable dans le secteur tertiaire, en particulier pour les contrats de prestations de service ou la vente de marchandises. Il ne faut pas croire que toutes les PESH ont la même incapacité. Une personne avec un handicap moteur par exemple pourra s’occuper des tâches de caissier, de secrétaire ou encore d’assistant virtuel. Ce sont surtout les métiers qui se développent exponentiellement en ce moment.
L’assistance et la formation avant l’embauche
En effet, la dématérialisation des informations offre des opportunités toutes nouvelles aux PESH, notamment avec l’apparition des logiciels de gestion. Beaucoup de métiers ne demandent pas de connaissances techniques pour ne citer que la numérisation des archives, la rédaction de textes ou encore l’externalisation de la paie. Mais, il faut admettre que le véritable problème se situe au niveau des incapacités à se faire recruter ou bien à convaincre les employeurs. Les personnes handicapées sont souvent recalées sans même avoir pu démontrer leurs talents, d’où l’utilité des associations et des sociétés œuvrant pour l’intégration professionnelle de ces malheureux. Elles font de ce fait office d‘intermédiaires entre le futur salarié et son employeur. Ces structures dispensent également des formations. Ainsi, ceux qui en ont besoin peuvent acquérir de nouvelles compétences. Elles donnent aussi des suggestions aux entreprises sur les aménagements à prévoir pour améliorer l’autonomie de leurs employés.