Travaux d’entretien et d’amélioration de copropriété
Dans le monde de l’immobilier, les travaux d’entretien et d’amélioration sont indispensables pour maintenir le bien en bon état. Cette règle s’applique tant sur les immobiliers classiques que sur les immobiliers en copropriété. Il existe pour cela plusieurs types de travaux que l’on pourrait réaliser, à savoir les gros œuvres de rénovation et petites améliorations.
Dans certains cas, ces opérations peuvent faire l’objet d’une série de travaux d’entretien permettant de bénéficier d’un bien-être supplétif. Toutefois, la réalisation de ces travaux de copropriété présente souvent des contraintes particulières et nécessite une certaine connaissance dans le milieu. Voici alors quelques détails sur ces types de travaux.
En ce qui concerne les travaux d’entretien
En matière de copropriété, les opérations visant à conserver l’état du bien immobilier sont considérées comme étant des travaux d’entretien. En général, ces opérations incluent les petits travaux de réparation, les remplacements d’équipement… Toutefois, d’autres travaux considérés comme plus lourds peuvent également y entrer selon les modalités de vote en assemblée générale.
Les opérations touchant les équipements collectifs
Ce type d’opération peut se réaliser dans les parties communes, mais elle est classifiée comme étant un autre groupe de travail. Les travaux correspondants concernent par exemple l’entretien des ascenseurs et des chaudières. Il y a également les remplacements de matériels défectueux par un autre du même genre.
Il faut savoir que les travaux considérés comme petit entretien sont laissés à l’insu du syndic. Il s’occupe pour cela de la recherche de meilleure entreprise pouvant prendre en charge les travaux (visitez ce site pour en savoir plus sur ces entreprises). Toutefois, il doit se conformer au coût fixé dans l’assemblée générale. Dans le cas des travaux d’entretien de grande envergure, il faudrait l’autorisation de la majorité des copropriétaires.
Les opérations touchant les parties communes
Selon la définition, les parties communes d’une copropriété constituent toutes les surfaces de l’immeuble destinées à l’usage des copropriétaires. Parmi les travaux relatifs à ces parties se trouvent par exemple les réparations des couloirs et des paliers, les rénovations de toitures et de canalisations…
Cependant, certaines règles de copropriété peuvent offrir un droit de jouissance individuel de cette partie à un seul copropriétaire. Les surfaces communes comme une terrasse n’ayant accès que par le rez-de-chaussée par exemple font partie de cette dernière.
En ce qui concerne les travaux d’amélioration
Ce type de travaux inclut généralement toutes les actions visant à améliorer l’aspect économique de la copropriété. Il s’agit des opérations qui permettent d’ajouter des éléments de bien-être qui n’existent pas encore.
Les opérations d’amélioration légale
Ce dernier inclut toutes les opérations d’amélioration obligatoire selon la loi. Il s’agit par exemple du déplombage, de l’installation de compteur de calories… Il y a également les mises en normes du système de canalisation et des ascenseurs, le désamiantage.
Les opérations d’amélioration par vote
Comme son nom l’indique, ces travaux résultent des votes des copropriétaires. Parmi ces derniers se trouvent par exemple l’installation d’ascenseur dans l’immeuble, la mise en place d’un système de chauffage collectif…
Les travaux comme le ravalement de façade non soumis à une obligation administrative, l’installation de boîte aux lettres sont également compris dans cette catégorie. Cependant, il faut savoir que les améliorations techniques concernant par exemple les réseaux téléphoniques, les compteurs nécessitent le vote de la majorité absolue de copropriétaires.
